« Albert est fonctionnaire au bureau de la reconstruction.
Il évalue de 1 à 5 les dégâts de la guerre civile dans les villages à reconstruire.
Il classe les organisations non gouvernementales de 1 à 9, selon leur niveau de sédition.
Mais quand il rencontre Eva et son fils, il doit se rendre à l’évidence : aucune échelle de valeur ne peut s’appliquer à eux. »
Un avis en avant-première !
L’Après-Dieux nous plonge dans une ambiance d’après guerre civile très poignante, où le réalisme des difficultés matérielles rencontrées par les personnages est fort habilement teinté de fantastique. Un récit court, qui se lit (trop) vite et se relit avec beaucoup de plaisir.
L’auteur, Maëlig Duval, publie ici son premier roman (plus exactement un roman court : une novella), mais pas sa première publication. Nouvelliste talentueuse, on a pu lire ses œuvres dans plusieurs anthologies : L et Fauves et Métamorphoses (éditions CDS), Contes du Monde (éditions du Riez), En attendant l’Apocalypse (éditions Nostradamus, sortie novembre 2012) ainsi que dans Lanfeust Magazine. Un prochain roman est prévu en 2013… entre autres projets !
Les petits plus pour vous décider
Le prix : 9,50€, à peine plus qu’un livre de poche !
La couverture : elle retranscrit très bien l’ambiance générale, et diffère grandement de ce qu’on peut trouver en général dans le monde de la SFFF. Pour la petite histoire, l’illustration est inspirée du véritable vélo de l’auteur – elle l’avait utilisé pour un célèbre Vannes-Epinal en 2010.
L’Après-Dieux, de Maëlig Duval, éditions Griffe d’Encre, distribution Makassar.
Disponible en librairie depuis le 25/09/2012.
Pégase Mécanique 